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- 📢Recherche partenaires | Projet : “FACTORIES – Références et outils pour des filières alimentaires territoriales, durables, collectives et à faible impact”
🗓️ Dates : Lancement d’appel à manifestation d’intérêt : 13 mai 2025 Deadline de réponse par mail : 13 juin 2025 à 12h (midi) Contexte : FAB’LIM et INRAE – UMR Innovation sont partenaires coordinateurs du projet FACTORIES (2024-2026), soutenu par l’ADEME et le RMT Alimentation Locale. Ce projet vise à analyser les choix de structuration de filières alimentaires territoriales (nature et mode d’investissement, relations entre acteurs économiques et non-économiques, échelle de coopération territoriale, mode d’accompagnement…) et leurs impacts, à l’aune de la définition d’une filière alimentaire souhaitable, qui serait durable, ancrée dans son territoire, portée collectivement, à faible impact environnemental, robuste économiquement et équitable pour tous. FACTORIES porte, en particulier, sur la dimension économique des choix de structuration de filières territoriales, en vue de renforcer la pratique des acteurs de l’accompagnement. Dans le cadre de l’action 3, il est prévu de réaliser deux collectes de données (par questionnaire en ligne et par entretien semi-directif) et, après analyse, de pointer les questions clés à adresser aux opérateurs économiques (producteurs, transformateurs, distributeurs) en phase d’émergence pour s’assurer de tendre vers un modèle de filière alimentaire souhaitable. Pour mener à bien le projet FACTORIES, nous lançons le présent appel à manifestation d’intérêt qui vise à sélectionner 3 partenaires co-réalisateurs de l’action 3, dont le travail fournira des matériaux précieux pour nourrir les activités de transfert prévues à l’action 4. 🎯 Missions : Participation à une réunion de lancement de la mission avec les équipes de FAB’LIM et INRAE pour recueillir des éléments de contexte sur le projet FACTORIES. Prise en main et formulation de propositions pour boucler le questionnaire en ligne conçu par FAB’LIM avec INRAE (disponible sur demande), afin de réaliser un premier balayage des choix stratégiques d’une cinquantaine de filières territoriales (investissements productifs, relations commerciales entre opérateurs économiques, coopérations avec les acteurs du territoire, critères de passage à l’échelle, fixation des prix des produits, financement de la fonction d’accompagnement…). Échange avec FAB’LIM, INRAE et les autres partenaires retenus dans le cadre du présent AMI pour valider la composition de l’échantillon de filières à étudier et répartir les données à collecter. L’échantillon sera établi de sorte à avoir une couverture de territoires et d’orientations productives la plus vaste. Collecte des données sur un minimum de 16 filières territoriales (par partenaire retenu) en essayant d’être le plus exhaustif possible (dans le respect du RGPD et du choix des acteurs de terrain de partager ou non certaines données stratégiques). Partage et mise en débat des résultats (impact de tel ou tel choix de structuration de filière par rapport aux termes de référence de la notion de filière souhaitable retenue), identification des besoins d’approfondissement et des possibles controverses. Réalisation d’entretiens semi-directifs auprès des acteurs de 3 filières minimum (par partenaire retenu) pour approfondir les impacts de certains choix d’organisation. Analyse de l’ensemble des données recueillies et valorisation des résultats sous forme de fiches thématiques (ex. : impact des choix d’investissements sur la répartition de la valeur, plus-value de la coopération territoriale, leviers de sécurisation des relations commerciales, intérêts et limites de la fonction d’accompagnement). Contribution aux temps de concertation organisés par FAB’LIM et INRAE en webinaire (associant des professionnels, des structures d’appui et des collectivités) pour partager et consolider les résultats de la phase d’enquête. Appui à la centralisation de matériaux (témoignages, écrits ou en vidéo, notamment) pour sensibiliser les accompagnateurs de filières territoriales aux questions clés à adresser aux entreprises (producteurs, transformateurs, distributeurs) en phase d’émergence de filière. Appui au recensement de formations existantes en lien avec la structuration de filières territoriales et proposition de sujets d’intérêt qui mériteraient d’être abordés lors d’un cycle de webinaires pour transférer les connaissances produites dans FACTORIES aux accompagnateurs et agents de collectivités locales (animateurs de PAT, notamment). Livrables à produire collectivement dans le cadre de l’action 3 : Questionnaire en ligne consolidé (sur la base d’une première proposition formulée par FAB’LIM et INRAE), liste des 50 filières documentées, résultats de l’analyse comparée et des points de débat identifiés, liste des besoins d’approfondissement, guide et comptes-rendus des entretiens semi-directifs réalisés, fiches thématiques, questions clés à poser aux opérateurs économiques en phase d’émergence, liste de formations en lien avec la structuration de filières territoriales. Montant du financement prévu : Les structures retenues dans le cadre du présent AMI seront considérées comme partenaires du projet. La subvention versée par FAB’LIM pour la réalisation de la mission s’élève à 13 500 € nets de taxes par partenaire. 3 structures seront sélectionnées. Une contribution à l’autofinancement de 30% sera demandée. Une convention de partenariat sera établie. 🔎 Profil recherché : Les structures partenaires candidates devront disposer d’une solide expérience dans l’appui à la structuration de filières alimentaires territorialisées (volet économique) et venir, chacune, avec les références d’une quinzaine de filières à intégrer dans le panorama initial. Une attention particulière sera portée aux candidatures émanant de structures membres du RMT Alimentation Locale. Candidatures : Si vous souhaitez répondre à cet appel à manifestation d’intérêt, nous vous invitons à nous transmettre votre proposition argumentée par mail à juliette@fablim.org impérativement avant le 13 juin 2025 à 12h (midi). Votre proposition devra comprendre : une reformulation de ce que vous comprenez des objectifs et du mode opératoire de la mission, vos modalités d’intervention et vos références. Merci également d’indiquer dans votre candidature combien de filières et sur quels territoires vous pourriez assurer le travail de documentation (questionnaire en ligne). Pondération des critères de sélection : 50% pour le niveau de compétences et d’expérience sur le sujet, 50% pour la proposition argumentée d’une quinzaine de filières à explorer dans le panorama initial.
- [Sauvez la date] Le RMT Alimentation Locale fête ses 10 ans les 5 & 6 novembre à Rennes
Participez à cet événement pour : Partager les connaissances, les outils et les recommandations produits par le réseau ; Discuter des perspectives ; Échanger avec des acteurs européens des circuits courts. Le Réseau Mixte Technologique (RMT) Alimentation Locale fêtera ses 10 ans les 5 et 6 novembre 2025 à Rennes ! À cette occasion, nous vous invitons à deux journées mêlant échanges, débats, ateliers et visites autour des circuits alimentaires courts et de proximité (CACP). Ces journées ouvertes réuniront une grande diversité d’acteurs : de la recherche, de la formation et du développement (les trois familles constitutives des RMT) mais aussi acteurs économiques, élus, animateurs de Projets Alimentaires Territoriaux et toute personne impliquée dans les différents maillons du système alimentaire : production, transformation, commercialisation, logistique... Cet événement marquera la fin de la 2ème édition du RMT Alimentation Locale. Il permettra de partager et de discuter les productions du réseau, facilitera l’interconnaissance entre acteurs, et donnera l’opportunité de débattre autour des perspectives pour les CACP , dans un contexte incertain. L’événement bénéficiera d’échanges avec des partenaires du projet européen COREnet qui a pour objectif de constituer un réseau européen de conseillers des circuits courts. Rejoignez-nous à Rennes, les 5 et 6 novembre prochain, pour échanger autour des circuits alimentaires courts et de proximité ! Vous pouvez nous partager dès maintenant votre intérêt pour participer à cet événement via le formulaire ci-dessous. Nous vous donnerons prochainement plus d'informations sur cet événement. Formulaire de pré-inscription Rappel - Qu'est-ce qu'un RMT ? Les Réseaux Mixtes Technologiques (RMT) sont des outils de partenariat scientifique et technique créés et soutenus par le Ministère en charge de l'Agriculture sous la coordination de l'ACTA et de la Chambre d'Agriculture France pour le secteur agricole et de l'ACTIA pour le secteur agro-alimentaire. Ces réseaux ont pour vocation de favoriser la collaboration entre les acteurs de la recherche, de la formation et du développement autour de thématiques à forts enjeux socio-économiques et environnementaux. Les RMT contribuent ainsi à accélérer la transformation des résultats de recherche en connaissances, méthodes et outils actionnables, à favoriser leur appropriation par les opérateurs, et à renforcer la pertinence des questions adressées à la recherche . - Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire Le RMT Alimentation Locale Le RMT Alimentation Locale a été agrée en 2015 et renouvelé en 2020. Le réseau est aujourd'hui piloté par la Fédération Régionale des CIVAM de Bretagne et INRAE . Il est affilié à l' Acta (Association de coordination technique agricole). Les finalités du programme 2020-2025 sont d’inscrire le développement et le changement d’échelle des CACP dans une perspective i) de consolidation des exploitations agricoles et des entreprises impliquées ; ii) de contribution à la transition agroécologique et alimentaire et à la résilience alimentaire des territoires . Dans ce cadre, le programme a aussi permis des avancées sur les dimensions logistiques, réglementaires et numériques des CACP, tout en contribuant à la connaissance et au développement de la formation sur ce thème. Au plaisir de vous retrouver, L'équipe d'animation du RMT Alimentation Locale Pour toute question, merci d'écrire à animation@rmt-alimentation-locale.org
- Ressources projet FILTER – Des filières territoriales vectrices de pratiques agroécologiques
Produire, transformer et consommer l’alimentation sur un même espace géographique : c’est l’ambition de filières se développant sur différents territoires et organisant les échanges entre agriculteurs·rices, entreprises de transformation, de distribution, et consommateur·rices. Le projet FILTER donne des clés de compréhension de ces filières territoriales agroécologiques et fournit des repères pour les accompagner. Principaux résultats obtenus Les gouvernances collectives sont des leviers efficaces pour actionner une transition agroécologique mais exigeants en termes de coordination : existence d’une structure de coordination de la filière, conduite d’essais culturaux en collectif et montée en compétences des producteurs, La création de valeur ajoutée rend plus attractives les pratiques agroécologiques : satisfaction des producteurs sur la rémunération, de l’agriculture biologique et des IFT au maximum de 1 et en moyenne deux fois moins élevés que la référence régionale, La formalisation d’engagements pérennise des modes de production agroécologiques : engagement des acteurs dans une charte d’adhésion, des contrats d’approvisionnement, des cahiers de charges et labels agroécologiques génériques, L’ accompagnement mobilise une très large gamme de compétences : de la mise en lien et l'animation d'un groupe d'acteurs à l'appui au changement de pratiques, en passant par l'accompagnement sur les aspects économiques et juridiques, le développement commercial, ou encore l'ingénierie financière. Le webinaire de fin de projet Les ressources et le page du projet Pour plus d’informations : Contactez Lore Blondel ou Pascal Aubrée, co-animateur•ice du projet FILTER lore.blondel@civam.org , pascal.aubree@civam.org
- Article | Le « tournant agroécologique » dans la recherche et la formation sur les systèmes agricoles et alimentaires
The ‘Agroecological Turn’ in Research and Training on Agricultural and Food Systems de Yuna Chiffoleau - Cet article est en anglais. Qu'elle soit considérée comme une science, un ensemble de pratiques agricoles ou un mouvement social, l'agroécologie exige de nouvelles méthodes de recherche et de formation. S'appuyant sur des éléments clés de la littérature, cet article vise à illustrer le « tournant agroécologique » dans la recherche et la formation sur les systèmes agricoles et alimentaires. Deux exemples de cocréation de connaissances et d'innovations, en interaction avec la formation, sont présentés et discutés : un projet européen visant à accroître l'utilisation de l'agrobiodiversité dans les exploitations agricoles et les chaînes de valeur alimentaires. Ce premier exemple illustre une approche systémique et participative de la semence à l'assiette, ancrée dans des laboratoires vivants multipartites, dans lesquels l'agroécologie est un catalyseur pour la refonte collective des systèmes alimentaires. le réseau français d'experts sur les chaînes d'approvisionnement alimentaire courtes, qui rassemble des organismes de recherche, de développement et de formation. Cet exemple montre comment le réseau national soutient et développe des initiatives locales autour de chaînes d'approvisionnement alimentaire courtes propices à la transition agroécologique, notamment en identifiant les lacunes concernant la formation. Ces deux exemples ouvrent une discussion sur deux questions soulevées par la recherche locale sur l'agroécologie, à savoir la participation des parties prenantes et l'articulation des échelles pour transformer les systèmes alimentaires .
- Consultation publique | Projet de Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat (SNANC)
Cette stratégie a été élaborée par les ministères chargés de l’agriculture, la santé et l’environnement, sur la base des contributions du Conseil national de l’alimentation, du Haut conseil de la santé publique, des agences et organismes d’expertise ainsi que des contributions spontanées de parties prenantes, dont la société civile. « La stratégie nationale pour l'alimentation, la nutrition et le climat détermine les orientations de la politique de l'alimentation durable, moins émettrice de gaz à effet de serre, respectueuse de la santé humaine, davantage protectrice de la biodiversité, favorisant la résilience des systèmes agricoles et des systèmes alimentaires territoriaux et garante de la souveraineté alimentaire, mentionnée au 1° du I, ainsi que les orientations de la politique de la nutrition, en s'appuyant sur le programme national pour l'alimentation et sur le programme national relatif à la nutrition et à la santé défini à l'article L. 3231-1 du code de la santé publique ». Contexte et objectifs Retrouver toutes les informations de cette consultation. Date de la consultation La consultation est ouverte jusqu'au 4 mai inclus. Documentation Télécharger le projet de stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat 2025/2030 :
- Webinaire | Partage d'expérience avec le Data Food Consortium - Jeudi 24 avril de 12h à 13h
Le groupe numérique du RMT Alimentation Locale a proposé plusieurs webinaires avec le Data Food Consortium pour discuter du développement d'un langage numérique commun et ouvert pour les circuits courts et du travail des membres du Data Food Consortium sur ce sujet. Vous pouvez revoir ces webinaires sur la playlist du groupe numérique . Un nouveau webinaire est proposé Jeudi 24 avril de 12h00 à 13h00 pour discuter de l'expérience du Data Food Consortium sur les communs numériques et les circuits courts. Ce webinaire ouvert et gratuit s'adresse aux personnes qui s'intéressent aux communs numériques, particulièrement pour les circuits courts alimentaires et qui cherchent à mieux collaborer grâce à des outils interopérables. Au programme : ▶️ Enjeux et impact de l'interopérabilité ▶️ Retours d’expérience concrets ▶️ Échanges avec les acteurs engagés Inscription au webinaire Data Food Consortium
- Appel à témoignages | Rencontres nationales de la logistique des circuits courts de proximité
Nous avons le plaisir de vous annoncer les prochaines Rencontres nationales de la logistique des circuits courts et de proximité , qui se tiendront les jeudi 4 et vendredi 5 décembre au Havre . Cet événement, organisé par la Région Normandie, a déjà connu un grand succès lors de ses précédentes éditions régionales et prend cette année une dimension nationale inédite. Le RMT Alimentation Locale, a travers le groupe logistique , est heureux de contribuer à l'organisation de cette nouvelle édition. Nous souhaitons rassembler une diversité d'acteurs pour enrichir les échanges et les perspectives autour des défis et des innovations logistiques. Organisé en partenariat avec : l’Institut Supérieur d’Etudes Logistiques, le RMT Alimentation locale, l’ADEME, Le Havre Seine Métropole, la Chambre d’agriculture Normandie, le Réseau des CIVAM normands, l’EM Normandie, Logistique Seine Normandie. Qu’entendons-nous par logistique des circuits alimentaires courts et de proximité ? La logistique de ces circuits, c’est l’ensemble des tâches nécessaires au transfert de flux de denrées alimentaires, de flux financiers et d’informations, depuis la ferme jusqu’au lieu de consommation. La logistique dépasse les simples activités de transport, d’emballage et d’entreposage. Elle intègre par ailleurs une fonction de coordination entre l’ensemble des acteurs d’une chaîne , du producteur au client final. Nous nous intéresserons à la logistique amont et aval. Contexte et problématique des Circuits Alimentaires Courts et de Proximité Les circuits alimentaires courts et de proximité sont définis en Europe comme « un circuit d’approvisionnement impliquant un nombre limité d’opérateurs économiques, engagés dans la coopération, le développement économique local et des relations géographiques et sociales étroites entre les producteurs, les transformateurs et les consommateurs » (Règlement de Développement Rural 2014-2020 de l’Union Européenne). Ils répondent à une demande croissante des consommateurs pour des produits locaux, de qualité, et respectueux de l'environnement. Cependant, ces circuits présentent plusieurs défis logistiques spécifiques : Petites quantités et variabilité : Les quantités à transporter sont souvent petites et variables, ce qui complique la planification et l'optimisation des transports. Les producteurs gèrent souvent eux-mêmes la logistique, ce qui peut être chronophage et coûteux. Multiplicité des acteurs : Les producteurs, souvent isolés, manquent de moyens humains et logistiques pour gérer efficacement les flux de marchandises. La mutualisation des services logistiques est une solution potentielle, mais elle nécessite une coordination et une organisation rigoureuses. Retour à vide : Les trajets sont souvent effectués par de petits véhicules peu chargés, avec des retours à vide fréquents, augmentant les coûts et l'empreinte carbone. Optimiser les tournées et massifier les flux sont des enjeux cruciaux pour améliorer l'efficacité logistique. Manque de solutions logistiques adaptées : Peu d'acteurs du transport sont positionnés sur ce marché, et les solutions logistiques traditionnelles ne sont pas toujours applicables. Des initiatives innovantes et adaptées aux spécificités des circuits courts et de proximité sont nécessaires pour répondre à ces défis. Problèmes de gouvernance : La gestion des réseaux logistiques est complexe, notamment en raison de la difficulté pour un acteur producteur de jouer le rôle d'acteur pivot. La collaboration entre producteurs, logisticiens, et collectivités est essentielle pour développer des solutions durables et efficaces. Programme Le programme est en cours de construction et les intervenants ne sont pas encore tous déterminés, mais il pourrait se présenter ainsi : Jour 1 : plénière le matin (2 tables rondes) et de nombreux ateliers thématiques l’après-midi (ex : optimisation des organisations, massification, impact du juridique, externalisation ou internalisation, apprendre de nos échecs). Jour 2 : visites de projets logistiques aux quatre coins de la Normandie (ex : visite du MIN de Rouen, visite d’un entrepôt STEF dans la Manche, visite d’une ferme qui livre des produits pour le compte d’agriculteurs). Les tables rondes mobiliseront des experts nationaux et traiteront des différents enjeux liés à la logistique, dont la sécurité des approvisionnements. Par ailleurs, cet événement sera pragmatique, des solutions concrètes seront mises en avant pour les producteurs, logisticiens et collectivités territoriales qui souhaiteraient s’emparer de ce sujet. Ainsi, afin de consolider le programme et d’alimenter les ateliers de l’après-midi, la Région lance un appel à témoignages national . Les acteurs souhaitant mettre en avant une solution peuvent proposer une idée d’intervention. Appel à témoignages Nous invitons les producteurs, logisticiens, chercheurs, collectivités, et toutes les parties prenantes des circuits courts alimentaires à nous envoyer des propositions d’intervention. C'est une première en France, et nous sommes impatients de découvrir vos propositions innovantes et inspirantes. Thématiques Vos idées peuvent aborder, sans s'y limiter , les thématiques suivantes : Création et optimisation des organisations logistiques : Massification, mutualisation des flux, mise en relation des acteurs, modèles économiques viables, mise en place de hubs logistiques, logistique des premiers et des derniers kilomètres… Développement durable et résilience territoriale : Réduction de l’impact environnemental, résilience sociale et territoriale, création de valeur et structuration des filières… Impact du juridique sur les organisations : Adaptation des transports de marchandises aux nouvelles normes environnementales (ex : ZFE), occupation du domaine public par des installation temporaires, leviers de la commande publique, organisation juridique de la mutualisation… Expansion au-delà des territoires locaux : Stratégies pour valoriser la production et accéder à des bassins de consommation plus larges… Enjeux des données : Production, partage et valorisation des données pour une logistique durable, solutions pour renforcer la mise en relation offre et demande… Innovations et solutions logistiques : Projets pilotes, technologies émergentes, et bonnes pratiques, cotransport mixte alimentaire/non alimentaire… Thématique spéciale « Apprendre de nos échecs » : Les projets qui n’ont pas abouti ou qui se sont arrêtés brutalement sont très riches d’enseignements et malheureusement peu valorisés. Ainsi, nous invitons les porteurs de projet à venir partager leur expérience. N’hésitez pas à nous indiquer les raisons de l’abandon ou de l’arrêt de votre projet mais aussi vos rebondissements. Modalités • Date limite d’envoi de vos idées : Vendredi 25 juillet 2025. Vous pouvez nous envoyer plusieurs idées en complétant plusieurs fois le formulaire. • Format : Description succincte du projet en quelques paragraphes. • Envoi de vos propositions : Remplissez le formulaire en ligne : https://forms.office.com/e/9Q2xUc2kxx ou envoyez vos propositions par email à guillaume.lebon@normandie.fr / elodie.hardy-metayer@normandie.chambagri.fr Pourquoi participer ? • Visibilité : Présentez vos projets devant un public diversifié et engagé. • Réseautage : Rencontrez des partenaires potentiels et élargissez votre réseau professionnel. • Impact : Contribuez à l'évolution des pratiques logistiques et à la promotion des circuits courts alimentaires en France. Télécharger l'appel à témoignages de l'équipe organisatrice des Rencontres nationales de la logistique des circuits courts et de proximité. Le texte présenté ci-dessus est issu de cet appel.
- Article | Responsabilité élargie des producteurs de denrées alimentaires à toutes les pratiques à risques des consommateurs, même celles ne respectant pas les prescriptions d'étiquetage
L’enjeu de la classification des produits au regard de Listeria monocytogenes Mars 2025 Introduction Les récentes crises sanitaires en France ont été au cœur des débats, et ont contribué à l’établissement de la loi Egalim. Au nom d’une alimentation saine, sûre et durable pour tous, et d’un renforcement de la qualité sanitaire, environnementale et nutritionnelle des produits, l’Etat demande aux professionnels de l’alimentaire à toutes les échelles de la chaine alimentaire, du producteur fermier à l’entreprise agro-alimentaire, de prendre en compte dans leur process de fabrication, les pratiques potentiellement à risque des consommateurs, et de façon générale tous les usages non conformes aux prescriptions du fabricant, appelés mésusages. Vu l’importance des contaminations Listeria monocytogenes et le nombre de rappels sur le site Rappel Conso, l’administration sanitaire vise via l’Instruction technique DGAL/SDSSA/2023-27 du 30/12/2022 à encadrer les dangers liés à ce germe lors de la production et la mise sur le marché de denrées d’origine animale ou en contenant prêtes à être consommées, communément appelées PAM (ou RTE pour « ready to eat » en anglais). L'objectif de cette publication Nous discutons ici de l’impact de cette instruction, dont l’objet est « Dispositions réglementaires au regard du danger Listeria monocytogenes applicables à la production et la mise sur le marché de denrées d’origine animale ou en contenant prêtes à être consommées », sur les pratiques des acteurs en circuits courts élaborant des denrées alimentaires à base de viandes ou de poissons (denrées animales ou d’origine animale). Nous proposons à ces professionnels, souvent isolés, et seuls à réfléchir les questions sanitaires au sein de leur atelier, une classification des produits au regard du risque Listeria monocytogenes et un éclairage pour la compréhension de ce texte. Consulter la publication mise à jour le 07/04/2025 - p.7, numéro de règlement corrigé Cet article est issu d’un travail collectif réalisé avec la contribution du groupe Réglementation du RMT Alimentation Locale.
- Webinaire | Renforcer la Résilience Alimentaire : un guide pratique pour les acteurs Territoriaux
Le 26 mars 2025 de 9h30 à 10h30 Organisé par l'AFNOR et le CNRA Dans un contexte de changement climatique et de bouleversements géopolitiques, la résilience alimentaire, capacité d’un système alimentaire à fournir une alimentation suffisante, adaptée et accessible à tous face à des perturbations variées, est devenue un enjeu crucial. Sous l’impulsion du CNRA (Conseil National pour la Résilience Alimentaire), AFNOR a travaillé à l’élaboration d’un guide pratique pour la résilience alimentaire, sous la forme d’une AFNOR SPEC 2301 . Destiné à tous les acteurs du système alimentaire (producteurs, industriels, distributeurs, institutions publiques, associations...), ce document unique apporte des solutions concrètes et applicables pour renforcer la résilience alimentaire des territoires. Il a été adopté après une expérimentation par des territoires pilotes, tels que le Pays de Saint-Malo et Toulouse, pour garantir un ancrage terrain. Participez à cette webconférence organisée avec le CNRA le 26 mars de 9h30 à 10h30 pour découvrir ce guide de bonnes pratiques. Vous pourrez découvrir les enjeux de la résilience alimentaire et la nécessité d’une approche systémique et territoriale, mais aussi voir comment aider les acteurs à définir leurs problématiques, améliorer les actions existantes et s’inscrire dans une démarche d’adaptation continue. Ce sera pour vous, une occasion unique d’échanger avec les experts de ce domaine et leur poser toutes vos questions. Les intervenants : Bernard ADER, président du CNRA Olivier AYÇAGUER, INTERFEL Yuna CHIFFOLEAU, INRAE Hermine CHOMBART DE LAUWE, déléguée générale du CNRA Pierre-Yves MAHIEU, Maire de Cancale, Vice-Président de Saint-Malo Agglomération Karine BOURGET, AFNOR Marine HUART, AFNOR Contacts équipe relation adhérents : 01 41 62 85 00 ou adherent@afnor.org
- Soutenance thèse | La résilience alimentaire, une construction relationnelle : une analyse à l'échelle des exploitations en circuits courts en Occitanie
Thèse soutenue par Yentl Deroche-Leydier le mardi 18 mars à 13h Résumé Le début des années 2020 a été marqué par des perturbations majeures affectant les exploitations agricoles, notamment celles en circuit court. La pandémie de Covid-19, entrainant la fermeture des marchés de plein vent, a suscité des interrogations sur le maintien de leur activité économique, tandis que l’inflation qui a suivi a accentué les difficultés rencontrées. Ces événements ont ravivé les travaux et débats sur la résilience alimentaire, à l’échelle des exploitations agricoles en particulier. Tandis que certaines études ont cherché à identifie des déterminants structurels, d’autres ont souligné le rôle des relations sociales des agriculteurs dans les réponses apportées aux perturbations. Parallèlement, l’utilisation médiatique et politique intense de la notion de résilience a induit des questionnements sur sa pertinence. Cette thèse a pour objectif de contribuer aux recherches sur la résilience alimentaire en approfondissant la compréhension du rôle des réseaux sociaux dans l’accès aux ressources essentielles au maintien de l’activité économique des exploitations, pendant et après une perturbation. Nous adoptons ici une vision processuelle de la résilience, prenant en compte les évolutions induites par les perturbations au cours de trois étapes : absorption, adaptation et transformation. Ancrée dans la sociologie économique, notre approche considère que l’activité économique des exploitations est influencée par les relations sociales dans lesquelles elle est encastrée. En mobilisant des apports de la sociologie économique dans le champ de l’entrepreneuriat, nous proposons d’interroger la forme et l’impact de cet encastrement tout au long du processus de résilience. Pour ce faire, nous avons mené 50 entretiens semi-directifs auprès de chefs d’exploitations maraîchères en Occitanie. Nous avons adapté la méthode des narrations quantifiées pour analyser les trajectoires des producteurs pendant la crise du Covid-19. Dans le cas de l’inflation, cette méthode n’a pas pu être utilisée, ce qui a permis de réfléchir à ses conditions d’utilisation. L’analyse comparée des deux crises a permis de mettre en évidence les mécanismes relationnels qui ont sous-tendu la construction de la résilience des exploitations agricoles, que nous résumons en trois points principaux : Les relations interpersonnelles jouent un rôle central dans l’accès aux ressources essentielles au maintien de l’activité économique de l’exploitation en situation de perturbation. Les liens forts, devenus polyvalents durant le processus de résilience, facilitent l’accès à divers types de ressources, permettant d’absorber la perturbation, mais aussi de s’y adapter et de transformer l’exploitation. Le processus de résilience transforme les configurations relationnelles dans lesquelles est insérée l’entité économique, les rendant plus denses et générant un nouveau contexte d’exercice de l’activité économique, plus ou moins favorable à la transition agroécologique. La thèse vient finalement non seulement contribuer aux travaux sur la résilience alimentaire à l’échelle des exploitations agricoles en approfondissant sa dimension relationnelle, mais aussi aux recherches sur la nature et le rôle des ressources dans le développement d’activités économiques. Par-là, elle propose plus largement de nouveaux éléments pour éclairer des débats généraux en sociologie économique tels que ceux autour de la force des liens dans le fonctionnement et la dynamique des marchés. Infos pratiques 📍 La soutenance aura lieu dans l'amphi 206 à 13h à l'Institut Agro : 2 Place Pierre Viala, 34000 Montpellier. 💻 Elle sera également accessible en ligne : Membres du jury Grégori AKERMANN, chargé de recherche en sociologie INRAE - Co-directeur de thèse Yuna CHIFFOLEAU, directrice de recherche en sociologie INRAE - Directrice de thèse Ika DARNHOFER - professeur associée en sociologie Boku University, Autriche - Rapportrice Fabien ELOIRE - professeur des universités en sociologie, Université de Lille - Rapporteur Michel GROSSETTI - directeur de recherche en sociologie, CNRS - Examinateur Salma LOUDIYI - professeur de géographie, Vetagro Sup - Examinatrice
- Logistique | Compte-rendu Atelier 2 - Groupe Collectivités : réaliser un diagnostic logistique
Les pilotes du groupe logistique du RMT Alimentation Locale ont initié en 2022 un cycle d'ateliers pour ouvrir un temps d’échange entre les collectivités et territoires de projet . L'objectif est de partager leur expérience sur la logistique des circuits courts ou de proximité , auto-alimenter leurs réflexions , tenter de la formaliser et capitaliser des retours d’expériences . Un premier atelier s'est déroulé le 17 novembre 2022 et portait sur l'engagement des collectivités dans la logistique des CACP ( compte-rendu sur ce lien ). Un second atelier intitulé "Réaliser un diagnostic logistique" a eu lieu le 7 décembre 2023. Cet article présente le compte-rendu de cet atelier ainsi que la parution du chapitre d'ouvrage "La construction de l'engagement des collectivités sur la logistique des CCAP (circuit court alimentaires de proximité) : perceptions des problématiques selon les territoires et les échelles". Nous nous excusons pour le délai de publication de ce compte-rendu, les échanges restent pertinents aujourd'hui. Un chapitre d'ouvrage en lien avec le cycle d'ateliers avec les collectivités et territoires de projets Les co-animateurs du GT Logistique ont publié un chapitre intitulé « La construction de l’engagement des collectivités sur la logistique des CCAP : perceptions des problématiques selon les territoires et les échelles » dans l’ouvrage coordonné par François Cassière et Virginie Noireaux : « Logistique(s) circuits courts et relocalisation. La réinvention des territoires » (2024, amU Editions, 220 p). Ce chapitre présente les résultats d’une enquête en ligne menée auprès des collectivités et territoires de projets pour comprendre et rendre compte de la manière dont elles / ils investissent le sujet de la logistique des CACP. Les réponses de 48 collectivités et territoires de projets ont été traitées : merci d'avoir pris le temps de répondre à cette enquête . Bien que limité en nombre, ce corpus permet de révéler quelques grandes tendances et de soulever des enjeux pour des travaux et actions futures. De manière générale ce travail montre : Une capacité d’expertise des collectivités et territoires de projet et des contraintes fortes , notamment liées au manque de ressources et de connaissances ; Des innovations organisationnelles qui restent à construire (des actions souvent cantonnées à la politique alimentaire et le service qui la porte) ; Des collectivités qui fondent leur action sur les remontées de terrain des acteurs opérationnels (producteurs, acteurs de la restauration, distributeurs...) et cherchent à partir de l’existant, en agissant comme acteurs pivots ; Des partenariats formels plutôt avec des acteurs publics et consulaires et une faible participation des opérateurs logistiques et de la grande distribution ; Des actions et instruments qui tendent à différer entre rural et urbain et selon l’échelle de la collectivité / du territoire de projet , en écho avec les problématiques logistiques rencontrées sur le territoire ; Des pistes sur la différenciation territoriale de l’action en matière de logistique alimentaire de proximité. Compte-rendu de l'atelier 2 "Réaliser un diagnostic logistique" Le 2ème atelier du groupe logistique a rassemblé 44 collectivités . Elles déclarent des niveaux d’avancements sur la logistique des circuits courts ou de proximité variés, propices à l’échange : 17 s’estiment peu avancées, 10 avancées, 13 commencent la réflexion. Pour poser une base de discussion et initier les débats, 3 collectivités ont présenté leurs expériences de diagnostic logistique (présentation basée sur un travail préalable mené avec le groupe logistique). Vous pouvez retrouver ces présentations en vidéo ci-dessous : Louise GENINI-PERRIN, PETR du Pays d’Epinal Coeur des Vosges : Guillaume LEBON, région Normandie Apolline BEYRIS—DUVIGNAU, Bordeaux Métropole Suite à ces présentations, les participants et participantes ont pu échanger en sous-groupe autour de sujets de discussion identifiés par les collectivités : la qualité des données logistiques dans les diagnostics de territoire, la difficulté de mobiliser les acteurs et celle inhérente à la prise du recul sur les données et les résultats, la mise en œuvre concrète sur le terrain. La synthèse des échanges est disponible dans le compte-rendu accessible ci-dessous : Merci au collectivités participantes aux ateliers et aux personnes ayant répondu au questionnaire du groupe logistique.
- Les fiches « réglementation » du CERD : une ressource gratuite et actualisée à destination des acteurs des circuits courts.
Association créée en 1990 à l’initiative d’agriculteurs de Bourgogne, le Centre d’Etude et de Ressources sur la Diversification (CERD) a pour objectif d’accompagner et faciliter le développement des circuits courts de commercialisation. Le CERD a orienté ses activités vers la transformation et la commercialisation des produits issus des exploitations agricoles en circuits courts et l’établissement de références réglementaires et technico-économiques. Convaincus de l’intérêt de réunir les acteurs de la recherche, de la formation et du développement autour de la thématique foisonnante de l’alimentation locale, les élus du CERD ont décidé de participer au RMT dès sa création et de s’investir en tant que co-pilote du groupe réglementation avec le Réseau des ateliers de transformation des lycées, puis actuellement avec Bordeaux Sciences Agro. Grâce au RMT alimentation locale, le CERD avec les autres membres du groupe, ont ainsi pu faire avancer au niveau national, l’application de la flexibilité dans les « petits » ateliers de transformation en participant à la fixation des seuils et en précisant ses contenus par secteur d’activités. Les fiches « réglementation » du CERD : une ressource gratuite et actualisée à destination des acteurs des circuits courts. La compréhension de la réglementation par l’ensemble des acteurs concernés est un enjeu central dans le développement d’une alimentation locale et de qualité. Pourtant, qu’il s’agisse de la réglementation sanitaire, de celle relative à l’étiquetage des produits, ou encore aux emballages et à leur gestion, les textes législatifs et réglementaires sont parfois d’une grande complexité, et leur interprétation peut représenter une difficulté, voir un frein. C’est la raison pour laquelle depuis plus de 30 ans, le CERD propose une lecture simple de ces cadres, sous la forme d’un recueil de fiches thématiques. La version 2024 vient d’être mise en ligne, et regroupe 35 références, toutes accessibles en ligne, et libres de téléchargement. Ces références sont à destination d’un public varié. Il peut s’agir d’agriculteurs (ou de candidats à l’installation) en démarche de diversification ou de commercialisation en circuit-court, ainsi que des conseillers agricoles. Les animateurs de PAT et les gestionnaires de la restauration collective y trouveront également des ressources utiles, notamment sur la logistique et la réglementation relative aux appels d’offre. Ce travail est mis à jour chaque année afin de suivre l’évolution réglementaire des sujets abordés. Leur intérêt réside également dans une lecture des cadres réglementaires adaptée aux acteurs du territoire. Les thématiques traitées couvrent la réglementation sanitaire (techniques de conservation, transformation végétale, transformation du lait…), la commercialisation (la facturation, la signalétique, l’étiquetage…), l’environnement (eau et énergie en circuit-court...) et d’autres sujets en lien avec les circuits courts (le bien-être animal, les signes de qualité…). Les fiches réglementaires évoquées constituent une partie d’un recueil plus large axé sur la diversification agricole, et dans lequel le lecteur peut également découvrir des références technico-économiques en production végétale, animale et services. Ces références prennent en compte les dimensions sociales, économiques et environnementales des sujets traités. L’élaboration de l’ensemble de ces références a bénéficié de différents financements au cours de son développement (région Bourgogne-Franche-Comté, FEADER, PNDAR…), mais n’est aujourd’hui plus financée par des fonds externes. Le maintien de cette ressource disponible gratuitement constitue un questionnement important pour les élus et l’équipe des salariés du CERD.