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  • Offre de thèse Sociologie - Leviers de la transition des pratiques alimentaires | UMR Innovation

    L’UMR Innovation, à Montpellier, recrute un doctorant ou une doctorante en sociologie pour trois ans sur l'implication et les relations comme leviers de la transition des pratiques alimentaires. Les candidatures sont à transmettre avant le 30 juin 2023. La thèse sera encadrée par : Yuna Chiffoleau, directrice de recherche en sociologie économique à l’INRAE et co-animatrice du RMT Alimentation Locale et de l'Axe 2 du RMT. Grégori Akermann, chargé de recherche en sociologie économique à l’INRAE et co-animateur du groupe transversal Numérique du RMT Alimentation Locale Cette thèse s'inscrit dans une volonté de comprendre les facteurs qui influencent les pratiques alimentaires dans une transition vers des systèmes alimentaires justes, durables, sûrs, sains et inclusifs. Pour cela, il s'agira d'étudier comment l’implication et les relations sociales peuvent constituer des leviers de la transition des pratiques alimentaires. Cette thèse s'intègre dans les enjeux du RMT Alimentation Locale, notamment par les cas d'études étudiés qui seront des circuits courts. Les candidates/candidats potentiels sont invités à consulter le descriptif de l'offre via le document ci-dessous : Contacts : Yuna Chiffoleau : yuna.chiffoleau@inrae.fr Grégori Akermann : gregori.akermann@inrae.fr Date de publication : 14/06/2023

  • Bonne nouvelle : le sous-groupe filières territorialisées de l'axe 1 relance ses activités !

    Au cours des 6 prochains mois, le sous-groupe filières territorialisées va : Travailler sur une proposition de définition commune au sein du RMT de la notion de filière de territoire, de proximité, locale, etc. à partir d'une revue de littérature Mener une étude sur les façons dont les collectivités locales peuvent soutenir les acteurs économiques de leur territoire dans le développement de filières locales (en lien avec les enjeux de résilience alimentaire) Mener une campagne de documentation participative et d'analyse de l'organisation de 10 filières territorialisées accompagnées par des membres du RMT Dans ce cadre, le sous-groupe Filière de l'Axe 1 du RMT Alimentation locale vous invitent à deux réunions de travail le 1er juin de 16h à 17h30 et le 27 juin de 16h à 17h30. Ces rencontres seront l'occasion de voir comment amorcer cette campagne de documentation participative et d'analyse de l'organisation de 10 filières territorialisées accompagnées par des membres du RMT. Ce qui se fera à l'aide de 3 outils développés dans le cadre du projet Fillières en Communs L'étude du sous-groupe filière sera également présentée sur la façon dont les collectivités locales peuvent soutenir les acteurs économiques de leur territoire dans le développement de filières locales.

  • Ressource Filières Territoriales - le projet CECAFITer

    Le projet CECAFITer CECAFiTer – Capitaliser nos Expériences pour Consolider notre Accompagnement des Filières Territoriales – est un projet multi-acteurs porté le réseau des Chambres d’agriculture de Bourgogne-Franche-Comté, le réseau des CUMA de Bourgogne-Franche-Comté, l’Institut Agro Dijon, le réseau de l’enseignement agricole public de Bourgogne-Franche-Comté, l’EPL de Montmorot et l’EPL de La Barotte. Ce projet avait pour objectif de favoriser l’implication des agriculteurs dans des filières territoriales. Il a été conduit en 2021 et 2022 grâce au financement du Compte d’affectation spéciale développement agricole et rural (CASDAR). Les objectifs opérationnels du projet ont été : La réalisation d’un état des lieux des filières territoriales en Bourgogne-Franche-Comté ; L’amélioration de la connaissance des conditions d’engagements des différents acteurs ; L’élaboration d’outils à destination des conseillers et formateurs dans le domaine du développement agricole et rural. Nous vous présentons dans cet article le projet et les ressources produites qui seront sans doute utiles aux personnes portant ou accompagnant des projets de filière territoriale. Une filière territoriale, qu’est-ce que c’est ? Il n’existe pas de définition précise et stabilisée d’une « filière territoriales ». Dans le cadre de CECAFiTer, les partenaires ont souhaité conserver une définition assez large afin d’appréhender la diversité des situations. Les initiatives recensées répondent aux critères suivants : Au moins 5 agriculteurs engagés ; Au moins 1 intermédiaire entre la production et la consommation ; La production et la transformation sont majoritairement localisées en Bourgogne-Franche-Comté (ou plus localement) ; Au moins une partie des produits vendus en Bourgogne-Franche-Comté. Les ressources issues du projet La page dédiée au projet CECAFITer présente le projet et l'ensemble des ressources citées ci-dessous. Les partenaires du projet ont recensé 55 filières territoriales en Bourgogne - Franche-Comté (voir carte des filières recensées). Onze filières parmi les 55 recensées ont été étudiées de façon approfondie afin de mieux comprendre les conditions de leur émergence, de leur organisation et de leur développement. Pour chacune de ces 11 filières, une fiche descriptive succincte a été réalisée et est disponible sur la page du projet. Deux documents synthèse ont été produit : une analyse du recensement des filières territoriales en Bourgogne – Franche-Comté une analyse croisée des études de cas des filières territoriales en Bourgogne - Franc-Comté Les études de cas ont permis d’appréhender plusieurs dimensions des impacts des filières territoriales sur la capacité de ces nouvelles organisations collectives à apporter des réponses aux difficultés économiques et environnementales auxquelles sont exposées les filières conventionnelles. Des difficultés ont également été mises à jour en lien avec certains produits spécifiques mais aussi avec la taille des infrastructures. Contacts projet : Vivien Bourgeon -> vivien.bourgeon@jura.chambagri.fr Denis Lépicier -> denis.lepicier@agrosupdijon.fr Formation "Structuration de filières alimentaires locales, quels modèles économiques et juridiques ?" Si le sujet des filières territorialisées vous intéresse, nous vous informons que la formation "structuration de filières alimentaires locales, quels modèles économiques et juridiques" co-organisée par FAB'LIM et la FR CIVAM Occitanie est ouverte aux inscriptions jusqu'au 3 mars. Elle aura lieu les 29 et 30 mars à proximité de Montpellier (34). Plus d'information et inscriptions.

  • Scoop : Les fruits et légumes ne sont pas plus chers en circuits courts qu’en circuits longs !

    Scoop : Les fruits et légumes ne sont pas plus chers en circuits courts qu’en circuits longs ! Résultats de l’enquête nationale de l’UFC Que Choisir (fin 2022) L’UFC Que Choisir a mené, grâce à ses bénévoles, une enquête précise à l’échelle nationale pour comparer les prix de vente d’un panier de 17 fruits et légumes de consommation courante entre grandes et moyennes surfaces (GMS) et commerces en circuits courts (commerces physiques, proposant une offre variée et dont au moins 70% des fruits et légumes sont issus de circuits courts). Au total, ce sont 406 points de vente en circuit court dont les prix ont été observés sur le terrain, et plus de 5 000 GMS dont les prix ont été relevés via les sites drives des sept principales enseignes de la grande distribution ((Auchan, Carrefour, Casino, Cora, E.Leclerc, Intermarché et Système U). Les résultats de cette enquête, menée fin 2022, viennent de paraître dans le numéro d’avril de la revue de l’UFC Que Choisir (n°623), en ce moment en kiosque. Cette étude montre que le panier de fruits et légumes d’origine France et issus de l’agriculture conventionnelle est au même prix en GMS et dans les magasins en circuits courts, et 15% moins cher en circuits courts qu’en GMS dans le cas d’un panier bio ! Comparaison des prix entre circuits courts et grandes surfaces pour un panier de 17 fruits et légumes conventionnels ou bio. Source: UFC-Que Choisir, n°623. Cette étude vient ainsi remettre en question la communication des GMS qui vante des prix systématiquement moins chers, dans un contexte d’inflation forte où les consommateurs portent une attention particulière aux prix. Ces prix attractifs sont, entre autres, le fruit de marges plus faibles et du nombre limité d’intermédiaires entre producteurs et consommateurs (maximum 1 en circuit court). Ils ne se font pas au détriment des producteurs et productrices, qui estiment, au contraire, recevoir « une plus juste rémunération en circuit court », indique Grégori Akermann (sociologue à l’INRAE et animateur de l’Observatoire des Systèmes Alimentaires Territorialisés pour le RMT Alimentation Locale) dans l’article. On peut également souligner que, sur les produits issus de l’agriculture biologique, les GMS appliquent une marge conséquente de 25% alors qu’en circuits courts la différence de prix entre produits conventionnels et bio est seulement de 9%. Les chiffres diffèrent tout de même suivant les produits. Ainsi, l’ail ou l’oignon sont 13 à 20% plus chers en GMS alors que les carottes ou les poireaux sont 10 à 20% plus onéreux en circuit court. Des explications peuvent être apportées au cas par cas, avec par exemple des coûts de production moindres pour les carottes qui alimentent les GMS, cultivées en plein champ sur de grandes surfaces, comparés aux coûts de production des carottes issues du maraîchage diversifié sur des petites surfaces, souvent pratiqué en circuits courts. Pour retrouver des commerces en circuits courts près de chez vous, n’hésitez pas à consulter la carte interactive et collaborative des circuits courts (accès gratuit) réalisée par l’UFC-Que Choisir en partenariat avec l’INRAE. Nous vous invitons à découvrir cette étude en détail dans l’article d’Elsa Casalegno et Marine Périer-Dulhoste dans le n°623 de la revue de l’UFC-Que Choisir : https://kiosque.quechoisir.org/magazine-mensuel-quechoisir-623-avril-2023/

  • Publication | Développement participatif de chaînes de valeurs alimentaires territorialisées

    Le projet TERRALIM 2, soutenu par l'Agence Nationale de la Cohésion des Territoires, a réuni sept territoires majoritairement ruraux du Massif Central, confrontés à des enjeux communs et qui cherchaient à créer ou renforcer des filières agro-alimentaires locales autour d’une ou de plusieurs productions. En s’appuyant sur les notions structurantes de gouvernance alimentaire territoriale (GAT) et de démocratie alimentaire, il s’agissait de fédérer et d’impliquer divers acteurs du territoire, notamment les consommateurs, dans l’objectif de dépasser la notion de filière locale pour développer des « chaînes de valeurs alimentaires territorialisées », plus ambitieuses en matière de coopération et de participation. Nous vous invitons à découvrir le rapport conclusif de ce projet, conçu et rédigé par l’INRAE UMR Innovation, avec la contribution des acteurs des sept territoires partenaires (PAT du Grand Clermont - PNR Livradois-Forez, la Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine, la Communauté d’agglomération de l’Ouest-Rhodanien, Saint-Flour Communauté, la Loire Sud ainsi que les départements de la Haute-Vienne et de l’Aveyron) et des intervenants extérieurs mobilisés pour le séminaire final. Ce rapport a été coordonné par Tara Dourian (doctorante en sociologie à INRAE et membre du RMT Alimentation Locale) et Yuna Chiffoleau (directrice de recherche INRAE et co-animatrice du RMT Alimentation Locale et de l'axe 1) et a notamment mobilisé Virginie Baritaux (co-animatrice de l'axe 2 du RMT) et Juliette Peres (co-animatrice de l'axe 1 et du Groupe Formation). Il vient renforcer les travaux de l'axe 1 du RMT Alimentation Locale "Les stratégies entrepreneuriales dans la durabilité : transition agroécologique, transformation à petite échelle et chaîne de valeur". Ce rapport vise à servir de document ressource pour construire des chaines de valeurs alimentaires territorialisées plus participatives et plus inclusives. En partageant les enseignements sur les freins et les leviers au développement de ces chaînes de valeurs territorialisées dans le Massif Central, ce document final permettra de renforcer la capacité des acteurs des territoires, ruraux en particulier, à s’inscrire dans une reterritorialisation de l’alimentation vectrice d’une coopération élargie dans les territoires. En France, on constate que de nombreux récits d’expériences sont disponibles à partir d’actions menées notamment dans et par des grandes villes tandis que peu de projets ont porté sur des territoires plus isolés, peu denses et encore peu ou pas investis dans la reterritorialisation de l’alimentation. L’usage de ce rapport est destiné aux territoires partenaires du projet TERRALIM, à d’autres territoires en France et ailleurs, et est aussi bien évidemment au service des Projets Alimentaires Territoriaux (PAT), ruraux en particulier.

  • Offre de stage - Axe 1 - RMT Alimentation Locale

    L'équipe d'animation de l'axe 1 du RMT Alimentation Locale "Les stratégies entrepreneuriales dans la durabilité : transition agroécologique, transformation à petite échelle et chaîne de valeur" recherche un·e stagiaire. Contexte Le paysage des chaînes alimentaires courtes et de proximité (CACP), rapprochant producteurs et consommateurs d’une même région avec un nombre limité d’intermédiaires, a beaucoup évolué ces cinq dernières années, de par, notamment, l’implication de nouveaux profils d’agriculteurs, la multiplication des initiatives et des innovations associées (numériques, logistiques…), ainsi que la plus forte intégration de ces chaînes dans les politiques publiques, nationales, européennes mais aussi locales et régionales. Agréé en 2015, le RMT Alimentation locale a analysé et accompagné ces dynamiques, en s’adressant à une diversité de publics, collectivités locales notamment, tout en cherchant à répondre aux besoins des producteurs agricoles. Il a pour objectif de produire une expertise collective sur les CACP en fédérant l’ensemble des acteurs impliqués dans leur développement. Cette expertise est coconstruite avec des acteurs cibles que sont les agriculteurs mais aussi les artisans et les collectivités, ainsi que les organismes qui les accompagnent dans une perspective de sciences participatives. Objectifs du stage Il existe un débat non tranché au sujet de la performance agroécologique des CACP en fonction des étapes du processus de production des produits (production agricole, transformation mais aussi logistique et transport) ainsi que des filières, voire des territoires. Le stage vise à comprendre en quoi et à quelles conditions les circuits courts et de proximité favorisent la transition agroécologique des exploitations agricoles et des systèmes alimentaires, aussi bien en termes de pratiques agricoles qu’en ce qui concerne la transformation des produits en systèmes de culture et d’élevage. En savoir plus et candidater, voir offre ci-dessous : Nous vous rappelons que le site du RMT Alimentation Locale dispose d'une rubrique offres d'emplois, vous pouvez y consulter et y déposer des offres en lien avec les chaînes alimentaires courtes de proximité. Découvrir la rubrique offres d'emplois

  • Certification professionnelle des formations dans les CACP : enjeux, intérêt, limites

    Le groupe transversal formation du RMT Alimentation Locale a lancé un espace de ressources et de recensement autour de la formation dans le domaine des CACP (chaînes alimentaires courtes de proximité) en août 2022. Plusieurs réunions de présentation ont suivi et ont fait émerger des questionnements et réflexions partagés par les participants·e·s. L'équipe d'animation du groupe formation propose pour cette nouvelle année de lancer un cycle de webinaires pour aborder ces différents sujets. Le premier webinaire se déroulera vendredi 27 janvier de 12h30 à 13h45 et abordera la question de la certification des formations : quelles certifications professionnelles pour quelles formations dans les CACP ? «Faut-il » faire certifier ses formations dans les CACP ? Quel est l’intérêt d’une certification ? quelles en sont les limites ? Ce webinaire s’adresse notamment aux formateurs, responsables pédagogiques et organismes de formation dans le domaine des CACP qui se questionnent sur ces procédures de certification RS et RNCP. Nous n’aborderons pas lors de cet échange les procédures Qualiopi. Quatre intervenants et intervenantes apporteront leurs regards et témoignages sur le sujet : Christelle Gandouin – pilote du CAFOC (Centre Académique de la Formation Continue) Montpellier, en charge du développement et du suivi qualité des prestations de service. Christelle a travaillé 11 ans dans la formation pour adultes en tant que formatrice et coordinatrice d’action, avant de devenir Conseillère en Formation Continue en 2016. Arnaud Trollé et Elsa Edynak - Savoir Faire & Découverte / LOKALEKO Arnaud Trollé a créé Savoir-Faire & Découverte en 2000 et Lokal Eko en 2022. Il dispose de compétences en ingénierie de formation, formation des professionnels à la pédagogie participative, travaux et projets européen sur l’artisanat de la transition écologique. Elsa Edynak est docteure en droit, spécialisée dans la protection de l’environnement et le développement durable. Responsable administrative et qualité chez Savoir Faire & Découverte ; responsable administrative chez Lokal Eko. Formée à l’ingénierie de certification. Amélie Pelletier - animatrice - coordinatrice de l’ARDEAR PACA, où elle travaille au développement et à la coordination de projets sur la création - reprise d’activité en agriculture et sur les outils d’accompagnement : espaces-test agricoles, formation... Le webinaire sera animé par Clémence Berlingen, co-animatrice du Groupe Formation, membre de l’équipe de l’association Open Food France. L'inscription à ce webinaire est gratuite, sur inscription. Le webinaire sera retransmis en direct sur notre chaine youtube et disponible en replay.

  • Banque des Territoires | AMI "Accélérer la Transition alimentaire" 4ème session

    7 projets sélectionnés pour la 3ème session La 3ème session de l'Appel à Manifestation d'Intérêt (AMI) "Accélérer la Transition alimentaire" a permis de sélectionner 7 projets qui seront accompagnés et pourront faire l'objet d'un investissement par la Banque des Territoires. Les co-animatrices du RMT Alimentation Locale, Yuna Chiffoleau (INRAE) et Anne-Cécile Brit (FR CIVAM Bretagne) sont ravies d'avoir contribué à la sélection de ces projets. Cette nouvelle vague porte le total de projets soutenus par l'AMI a 25 depuis son lancement en juin 2021. Ouverture de la 4ème session Le 4ème relevé de candidature de cet AMI de 3 ans aura lieu mi-mars 2023. Il viendra soutenir des structures qui placent l'utilité sociale au cœur de leur action et des projets au service de la transition agricole et alimentaire, à fort impact social, territorial et environnemental. A noter : Les projets devront présenter un modèle économique viable et un besoin de financement suffisant (de plus de 500 K€), pour envisager un co-investissement de la Banque des Territoires. Calendrier Relevé des candidatures de la 4ème session : le 17 mars

  • Prix des héros locaux organisé par AgroBridges - Présentez vos innovations pour les circuits courts

    Dans le cadre du projet européen agroBRIDGES, Vegepolys Valley organise un prix des héros locaux pour mettre à l'honneur les innovations en circuits courts. CANDIDATEZ pour Mettre en avant vos concepts innovants autour des circuits-courts alimentaires et produits locaux Vous faire connaitre autour de votre travail en circuits-courts et/ou avec des produits locaux Etre récompensé sur vos concepts de circuits-courts alimentaires et de transformation de produits locaux les plus innovants 2 prix décernés : Prix CONCEPT : Le pôle récompensera le concept de circuit-court alimentaire local le plus innovant (achat revente en circuit-court et local) Prix PRODUIT : Le pôle récompensera la transformation de produits alimentaires locaux la plus innovante (valorisation d’un produit local) La remise des prix se fera lors du SIRHA, le 20 janvier 2023 à 18h00 avec Yuna Chiffoleau, co-animatrice du RMT Alimentation Locale. En plus de l’opportunité de se faire connaitre et de présenter les projets au SIRHA devant une assemblée, les lauréats bénéficieront de 3 récompenses : un accompagnement du pôle VEGEPOLYS VALLEY pour le développement, la structuration et l’amélioration du projet une enveloppe financière de 1 000 € du Crédit Agricole une entrée gratuite au Salon international de la restauration, de l’hôtellerie et de l’alimentation (SIRHA) Qui peut candidater ? Toutes les structures juridiquement déclarées dont le siège social est situé en France Toute structure ayant développé un concept innovant en circuits-courts locaux (achat revente en CC et local) ou bien une transformation innovante de produits locaux (valorisation d’un produit local) Comment soumettre sa candidature ? Candidature à soumettre avant le 15 janvier 2022 minuit, en envoyant votre dossier de candidature à maiti.boussit@vegepolys-valley.eu Le projet agroBRIDGES vise à créer des ponts entre les producteurs et les consommateurs, en donnant aux agriculteurs des connaissances pratiques et un soutien pour rééquilibrer leur position sur le marché grâce à de nouveaux modèles commerciaux basés sur les chaînes d'approvisionnement alimentaire courtes. AgroBridges réunit 15 partenaires européens provenant de 11 pays différents. Au cours du projet, AgroBridges va développer une combinaison d'outils pratiques à destination de toutes la chaine de valeur des acteurs des circuits-cours alimentaires. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : https://www.agrobridges.eu/ Dans le cadre de ce projet Européen, VEGEPOLYS VALLEY, partenaire d’Agrobridges, organise un prix des « héros locaux » dans le but de faire se rencontrer et connaitre des acteurs de systèmes alimentaires en circuits-courts.

  • Offre d'emploi - CDD | Ingénieur·e d'étude INRAE

    Nous avons le plaisir de vous partagez une offre pour un poste qui comporte des missions d'appui pour le RMT Alimentation Locale. Description du poste (CDD 1 an renouvelable, basé à INRAE - Montpellier) : Le poste d’ingénieur-e d’étude s’inscrit à la fois dans le cadre du projet européen COREnet (Connecting advisOrs towaRd a European NETwork for consumer-producer chains), qui vise à mettre en réseau les différents conseillers qui accompagnent le développement des circuits courts dans les 27 pays européens, et dans le cadre du RMT Alimentation locale, qui fédère des acteurs de la recherche, du développement et de la formation impliqués dans le développement des circuits courts pour produire de l’expertise collective et des outils sur ces circuits. Dans le cadre de COREnet, le poste a pour objectif d’appuyer les activités d’INRAE (cartographie et caractérisation du système de conseil sur les circuits courts en France, études de cas de circuits courts performants et pour lesquels le conseil a été décisif, organisation de visites et sessions de formation avec des conseillers de différents pays, etc.). Dans le cadre du RMT, le poste a pour objectif d’appuyer l’animation du réseau (veille bibliographique et des projets, synthèse et diffusion des travaux du RMT, etc.), de valoriser les activités du réseau dans COREnet et inversement. Les deux missions seront donc étroitement couplées. Formations et compétences recherchées Master/Ingénieur (Bac+5) Compétences en sciences sociales, capacités à réaliser une revue de la littérature et des entretiens, capacités rédactionnelles de synthèse et de vulgarisation de contenus scientifiques. Compétences en animation de réseau, capacité à travailler avec des partenaires variés (recherche, développement, formation...), bonne maitrise des outils numériques (animation de réseau à distance, site internet, réseaux sociaux...). Autonomie et intérêt pour le travail en équipe avec des partenaires non scientifiques. Très bonne maitrise de l’anglais écrit et oral. Une bonne connaissance des circuits courts et des méthodes d’accompagnement dans le secteur agricole serait un plus. Retrouvez l'offre en détail dans notre rubrique offres d'emplois (cette rubrique est ouverte, n'hésitez pas à y ajouter vos propres offres). Retrouvez l'offre originale sur le site INRAE.

  • FranceAgriMer | CASDAR - Appel à projet Connaissances

    FranceAgriMer met en place un appel à projet destiné exclusivement à soutenir des projets permettant la production de connaissances, d’outils, de tests, et/ou de méthodes opérationnelles, en vue de leur application dans les systèmes agricoles et agro-alimentaires. Les solutions produites par ces projets devront ainsi être finalisées. Les projets déposés devront contribuer obligatoirement à un ou plusieurs des 9 objectifs du PNDAR 2022-2027. Ils prendront nécessairement en compte l’ensemble des enjeux identifiés dans ces thématiques : 2 thèmes prioritaires pour la mobilisation en faveur de l'économie, de l'emploi et des territoires : Créer des chaînes de valeur équitables, Répondre au défi du renouvellement des générations en agriculture, 2 thèmes prioritaires pour une meilleure contribution au bouclage des grands cycles biogéochimiques, dans une perspective d’autonomie vis-à-vis des ressources fossiles, et d’atténuation des émissions de gaz à effet de serre : Contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre de l’agriculture, Développer l'autonomie protéique et azotée de l'agriculture française et des territoires, 3 thèmes prioritaires pour améliorer la résilience de l'agriculture et des systèmes alimentaires face aux changements globaux et aux aléas biotiques, climatiques et économiques : Valoriser et préserver l'agro-biodiversité, Accompagner l’adaptation des systèmes de production animale et végétale face aux aléas et au changement climatique, Renforcer la gestion intégrée de la santé animale et végétale, en développant la place des mesures préventives ou alternatives à l’utilisation de produits phytosanitaires de synthèse ou d’antimicrobiens, 1 enjeu sociétal particulièrement prégnant : Améliorer le bien-être animal et poursuivre les transitions pour rester acteur des marchés et générer de la valeur au sein des filières. 1 enjeu transversal : Mobilisation du levier du numérique pour soutenir la conception, le pilotage, le déploiement et la valorisation de systèmes de production agricole innovants et performants. Dans le cadre des appels à projets du PNDAR pour l’année 2023, le Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire incite les organismes candidats à déposer des projets de recherche appliquée, d’innovation et de développement agricole dont l’objet principal répond à l’un ou à plusieurs des thèmes prioritaires suivants : Répondre au défi du renouvellement des générations en agriculture en accompagnant l’installation et la transmission, ainsi que l’amélioration de la qualité de vie au travail et les démarches de réflexion sur le sens des métiers en agriculture; Développer l'autonomie protéique et azotée de l'agriculture française et des territoires; Accompagner l’adaptation des systèmes de production animale et végétale face aux aléas et au changement climatique, en s’appuyant notamment sur une gestion économe et efficiente de l’eau. Calendrier Ouverture du dépôt des candidatures : 15 octobre 2022 Clôture des candidatures : 15 février 2023 Texte extrait du site FranceAgriMer, disponible en intégralité à ce lien.

  • Projet VICTOR VIandes en CircuiTs cOuRts | Questionnaire à destination des éleveurs

    Le projet VICTOR : Basé sur des états des lieux complets des circuits courts pour les viandes et produits carnés bovins et porcins, le projet VICTOR (VIandes en CircuiTs cOuRts) vise à accompagner les éleveurs dans la diversification de leurs activités. Plus spécifiquement le but est d’aider les producteurs à mieux maîtriser la qualité de leurs produits, pour répondre aux attentes de leurs clients dans les contraintes liées aux circuits courts. Pour ce faire, 13 partenaires experts en qualité des viandes et produits carnés des filières bovines et porcines, en économie des circuits de production, et implantés en Bourgogne, Pays de la Loire, Grand Est et Auvergne collaborent pour créer des outils numériques qui répondront aux besoins de éleveurs. Ce projet bénéficie du soutien du RMT Alimentation Locale, il sera présenté prochainement dans notre page projet, en cours de mise à jour. Un questionnaire à destination des éleveurs (porcins et bovins) Depuis plusieurs années, les circuits d’alimentation locale sont en fort développement, répondant à une demande sociétale accrue depuis la crise sanitaire. Ainsi, les éleveurs sont de plus en plus nombreux à se diversifier pour orienter tout ou une partie de votre production de viandes et produits carnés vers les circuits courts. Pour que ces activités soient durables et rentables, il est important de répondre aux attentes de leurs clients, notamment en termes de qualité des produits. Dans ce but, le projet VICTOR vise à produire des outils adaptés pour accompagner ces éleveurs dans la maîtrise de la qualité de leurs viandes et produits carnés, intégrant les impératifs de production en circuits courts. Afin que la production de ces outils soit pertinente, les partenaires du projet vous invitent, éleveurs et éleveuses, à les aider à prioriser les qualités que vous jugez importantes à maîtriser. Cela permettra de mieux comprendre la perception des critères de qualité des viandes et produits carnés dans le cadre spécifique des circuits courts. Merci de répondre à ce questionnaire si vous êtes concerné·e et de le diffuser aux éleveurs et éleveuses de votre réseau.

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